Aujourd’hui, partout en France, des mobilisations ont rassemblé, à l’appel de plusieurs organisations syndicales dont la FSU, des dizaines de milliers de personnes : enseignant-es, personnels de l’Education, parents d’élèves, organisations de jeunesse.
Elles ont montré que l’opposition à la réforme Blanquer est réelle et qu’il existe une attente forte pour obtenir, à l’inverse de ce projet de loi, des mesures permettant de donner au système éducatif la capacité de faire réussir tous les jeunes.
Le gouvernement doit entendre ces exigences. Et la FSU fera tout pour qu’il en soit ainsi.
Le 4 avril prochain un temps fort de mobilisations (grève, rassemblements, manifestations…) est d’ores et déjà prévu.
Partout, la communauté éducative restera mobilisée pour demander une autre politique pour l’école.
Les réformes du lycée, du Bac et Parcoursup sont toujours rejetées par les personnels comme par les parents.
Les injonctions, les pressions, les provocations auxquelles sont soumis les personnels sont insupportables.
Le gouvernement doit entendre ces exigences et abandonner le projet de loi « pour l’école de la confiance »
Et le 9 mai prochain, le secteur de l’Education se mobilisera avec toutes et tous les agent-es de la Fonction publique pour défendre la Fonction publique et le service public de l’Education.
700 personnes à Limoges et 200 à Guéret se sont mobilisées pour dénoncer la loi Blanquer dans l’académie de Limoges.