Sommaire :
1 édito
2 Refondation de l’école : les premières analyses des syndicats de la FSU
3 Refondation de l’école :

communiqué de la FSU
communiqué du SNES / FSU et du SNEP / FSU
communiqué du SNUipp / FSU

4 Appel du SNUEP / FSU et d’une large intersyndicale signez la pétition intersyndicale « Stop au tout CCF »
5 Elections professionnelles à pôle emploi : le SNU pôle emploi / FSU remporte les élections

1 édito :
Vendredi 5 octobre nous avons été destinataire du rapport de la concertation sur la refondation de l’école que vous trouverez en pièce jointe…Cet énorme pavé de 50 pages a déjà été largement commenté et même, certaines organisations, l’ont pris comme argent comptant et comme un projet de loi et ont, donc, fait des déclarations fracassantes… Concernant la FSU et ses syndicats, majoritaires dans la profession faut-il sans cesse le rappeler, nous avons commencé à analyser ce texte (vous trouverez en points 2 et 3 nos premières analyses ainsi que différents communiqués de presse) et attendons dès maintenant qu’avant toutes choses le Ministre ouvre des séances de NÉGOCIATIONS… Bien que nous trouvions un certain nombre de points importants et intéressants dans ce texte, il est impensable que nous en acceptions d’autres qui vont à l’encontre totale de nos mandats. Mandats que nous avons construits avec la profession, que cette même profession a largement validé lors des élections professionnelles en plébiscitant les syndicats de la FSU dans le 1er et le second degré… Le gouvernement doit prendre en compte, sauf volonté d’aller à l’affrontement, que RIEN ne pourra se faire sans les professionnels de l’Éducation que sont les Enseignants et leurs représentants syndicaux majoritaires… Nous vous appelons à participer à la construction de ces mandats en renvoyant le questionnaire SNUipp / Harris pour le 1er degré…

Deux possibilités pour y répondre.

– Lors de rencontres avec la profession, nous apporterons des questionnaires papier.

– Imprimer et compléter le questionnaire que vous trouverez ici : http://www.snuipp.fr/IMG/pdf/questionnaire.pdf ou en pièce jointe

Attention : Harris-Interactive, pour pouvoir traiter ce questionnaire, demande à ce qu’il soit imprimé avec une bonne qualité d’impression.

ou en participant aux états généraux du second degré à l’appel du SNES, du SNEP et du SNUEp / FSU dans vos établissements…

Autre nouveauté de rentrée nous avons décidé de mettre en ligne notre journal départemental, POUR 19, que vous allez recevoir également sous format papier dans les prochains jours mais … en noir et blanc…
Les retraités pourront y lire l’appel unitaire départemental pour la manifestation des retraités de jeudi 11 octobre à 15 heures à Tulle.
Vous y trouverez également un texte intitulé : Santé et sécurité au travail : être vigilant. Ce texte vous apportera les informations nécessaires sur les nouvelles obligations de l’Éducation Nationale en terme de sécurité et de conditions de travail de ses personnels… Il était temps, tant notre ministère ainsi que la Fonction publique dans son ensemble avaient du retard par rapport au privé… Les nouveaux CHSCT, issus de la représentativité syndicale ont été installés en Mai et Juin… La FSU, en qualité d’organisation majoritaire, en assume la plupart des secrétariats et sera à l’écoute des personnels à chaque fois que nous serons saisis…
Vous y trouverez enfin un 4 pages donnant les raisons pour laquelle des organisations politiques, syndicales… disent Non au traité européen… Savoir que la majorité des députés français va voter oui à ce traité (sur la demande du président de la République) sans l’avoir lu ni en connaître la teneur est fortement inquiétant… Vous pouvez d’ailleurs faire comme nous et interpeller votre député(e) sur ce sujet…
La majorité des députés n’ont pas lu le TSCG

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Vous pourrez également tester vos propres connaissances en répondant au quiz joint. Nous vous conseillons de bien lire les réponses car vous risquez d’avoir un grand nombre d’erreurs et donc d’apprendre beaucoup sur ce projet au funeste dessein !!! Nos député(e)s feraient, d’ailleurs, bien d’en faire autant avant de voter n’importe quoi…

http://www.slate.fr/story/62491/quiz-tscg-pacte-budgetaire-europeen

J-Louis Puydebois

2 Refondation de l’école : les premières analyses des syndicats de la FSU

Premières réactions du SNES : http://www.snes.edu/Concertation-refondons-l-ecole-de.html bilan à télécharger en bas de page

Premières réactions du SNUipp : http://www.snuipp.fr/Et-maintenant-la-negociation-mais

3 Refondation de l’école :

communiqué de la FSU
Maintenant, ouvrir les négociations pour construire la loi.

La concertation ouverte au début du mois de juillet pour la Refondation de l’Ecole vient de se terminer. Tous les acteurs de l’Education ont échangés depuis le 6 juillet dernier sur l’avenir du système éducatif. La FSU s’y est pleinement impliquée en mettant sur la table un grand nombre de propositions. Elle a jugé ces débats intéressants quand bien même des questions importantes n’ont pas toujours pu être approfondies et restent au milieu du gué.
Le rapport de la concertation dégage des questions centrales (refondation de la formation des enseignants, évolutions des pratiques pédagogiques, nécessité du travail collectif, rupture avec le socle Fillon…) où l’on retrouve parfois des propositions de la FSU mais il affiche aussi des préconisations fondées sur de pseudo consensus et majoritairement refusés par les personnels concernés ( enseignements au collège, réforme des lycées, du service public d’orientation, rapport enseignement professionnel – apprentissage, orientation de santé).

Le rapport réaffirme une priorité à l’Ecole primaire. Si la FSU est satisfaite de cette confirmation, elle veillera à ce que la loi envisage bien l’unité du système éducatif, du premier degré au lycée en articulant mieux les premier et second degrés dans le respect de leur spécificité. Le rapport évoque à peine la nécessaire articulation entre lycée et enseignement supérieur. Or, c’est en organisant la cohérence du parcours scolaire de l’élève puis de l’étudiant que l’on permettra d’en finir avec les sorties sans qualification et d’aller vers la relance de la démocratisation du système éducatif, de la maternelle à l’université.

Si des sujets ne sont pas sans lien avec le débat qui s’ouvre aujourd’hui sur la décentralisation, particulièrement en ce qui concerne l’enseignement professionnel, l’enseignement supérieur, l’orientation ou la gouvernance du système, la loi ne devra pas faire comme si des décisions étaient déjà actées.

La FSU regrette que le rapport soit particulièrement silencieux sur les personnels non enseignants. Car pour lutter contre les inégalités sociales, qui dans notre pays déterminent fortement la réussite scolaire, il faut aussi améliorer la prise en charge des jeunes par des personnels spécialisés et le renforcement des équipes pluri-professionnelles.

La bonne marche du système éducatif nécessite que soient confortées les missions des personnels administratifs, sociaux, de santé et d’encadrement.

Mais le rapport n’est qu’une étape et la loi d’orientation et de programmation devra maintenant proposer des solutions aux problèmes du système éducatif. Elle devra en cela marquer une rupture avec les politiques éducatives précédentes, associer à la réflexion les autres ministères concernés comme par exemple le MESR, en ce qui concerne la formation des enseignants au sein des universités (ESPE).

La FSU veillera particulièrement à la mise en œuvre de mesures pour les élèves les plus en difficulté et pour que soit assurée une réelle égalité d’accès à l’éducation sur tout le territoire.

Et si la loi est attendue pour améliorer la scolarisation des élèves, elle l’est aussi pour améliorer les conditions d’exercice de l’ensemble des personnels (dont le rapport ne fait pas un levier de la transformation), leur formation, leur revalorisation. Les personnels ne pourraient concevoir que les évolutions nécessaires du système éducatif conduisent à dégrader ou alourdir leurs conditions de travail.

La FSU regrette que les personnels n’aient pas jusqu’ici été associés réellement à cette consultation. Aucune réforme ne pourra se faire sans eux. _ Les quelques consultations de certaines académies ont été particulièrement hétérogènes tant dans leurs modalités que dans leurs contenus.

La FSU et ses syndicats s’attacheront à avancer leurs propositions, les mettre en débat en prenant l’avis des personnels sur toutes les questions posées pour la Refondation de l’Ecole.

Maintenant les travaux pratiques doivent commencer. Le temps incontournable de la négociation est venu.

Le ministre de l’Education Nationale doit préciser les objets de la négociation, la méthode et le calendrier. La FSU s’engage dans ces discussions avec la volonté de donner une nouvelle orientation au système éducatif pour assurer réellement la réussite de tous les jeunes et pour que soient programmés les moyens nécessaires pour y parvenir.

Communiqué de presse du SNES et du SNEP

Rapport de la concertation sur la refondation de l’école : Pour le second degré, des préconisations en rupture avec l’avis des personnels concernés

8 octobre 2012

Le rapport de la concertation a été remis au ministre de l’Education nationale vendredi.

Il prétend pointer les consensus que les discussions ont permis de dégager, en particulier sur l’état du système éducatif aujourd’hui, et il dégage des propositions.

Les constats, qui reflètent les débats de la concertation, prennent bien la mesure des grippages actuels du système éducatif et tentent de les replacer au regard des évolutions profondes de la société française.

Mais le rapport prétend en tirer des préconisations pour le second degré qui non seulement ont été fortement contestées dans les groupes mais frappent par leur pauvreté : il ne s’agit que du recyclage de représentations convenues, nullement étayées par de quelconques études et qui n’aboutiraient qu’à affaiblir la professionnalité des enseignants sans gain réel pour les élèves.

Force est donc de constater que ces propositions concernant l’avenir du second degré et de ses personnels sont problématiques, d’autant qu’elles n’ont pas fait accord dans les débats et en particulier avec les organisations les plus représentatives des personnels enseignants.

Ainsi, l’analyse des politiques éducatives précédentes se limite-t-elle à une absence de moyens, de cohérence et d’accompagnement des réformes qui, sur le fond, ne sont pas remises en cause.
Rien n’est dit sur la dégradation continue des conditions de travail, du grand bazar dans les lycées provoqué par la réforme des voies générales et technologiques, du refus très largement exprimé par les personnels du socle commun et de son livret…
Sur ces points, le rapport s’inscrit donc dans la continuité des politiques ségrégatives mises en place notamment avec et depuis la loi Fillon, tout en développant un discours de justice sociale, partagé par toute la communauté éducative, sur l’indispensable égalité qui reste à construire.

Le rapport propose de revenir sur le socle commun de la loi Fillon pour « définir un ensemble de compétences et de connaissances obligatoires pour tous » et affirme « la nécessité d’un programme obligatoire de culture et de compétences ».
Le SNES et le SNEP sont prêts à travailler à cette définition mais le maintien de la conception « socle commun », même assorti de la préoccupation qu’il ne soit pas « conçu comme un savoir minimum », fait craindre que l’on retombe dans les travers dénoncés à propos de la loi Fillon.

Même s’il est affirmé que : « les objectifs du collège doivent clairement s’inscrire dans la double logique du socle commun de la scolarité obligatoire et de la poursuite d’études dans le second cycle », le collège est de fait recroquevillé sur la seule scolarité obligatoire, actant ce faisant que l’objectif du socle commun n’est pas la poursuite d’études et reprenant la logique de viatique portée par le socle commun de la loi Fillon.

En affirmant, sans jamais en apporter la moindre preuve, que « pour gérer l’hétérogénéité scolaire, le collège unique doit assumer la continuité avec l’école primaire », les rapporteurs justifient leurs propositions d’échanges de services entre enseignants du premier et du second degré, d’enseignement par « champs disciplinaires », ouvrant ainsi la voie au retour de la bivalence au collège et à l’installation de « réseaux du socle », même si l’expression n’est pas utilisée.

La limitation du nombre d’heures de cours au collège se traduirait par une diminution des horaires disciplinaires. Cela risque de renvoyer aux familles le contenu de ce qui ne sera plus fait en classe, aggravant ainsi les inégalités.
Couplée aux propositions de parcours culturels et artistiques en dehors de ces heures et au discours sur les fondamentaux elle fait craindre pour l’avenir des disciplines artistiques et de l’EPS.
L’absence totale de référence au sport scolaire du second degré, y compris lorsque le rapport parle de l’accès des jeunes à la culture et à la vie associative n’est pas sans inquiéter !

En ce qui concerne l’avenir du lycée, l’affirmation que « la majorité des participants à la concertation n’a pas souhaité remettre en cause la réforme en cours dans les voies générales et technologiques » fait fi de l’opinion largement majoritaire des personnels qui subissent cette réforme dans des conditions douloureuses et déstabilisatrices, réforme qui notamment, condamne les séries technologiques industrielles d’une part et la série L et les enseignements artistiques d’autre part à une mort certaine à court terme.

Les préconisations concernant l’orientation sont totalement inscrites dans le désengagement de l’Etat, anticipant les décisions à venir dans le cadre d’un nouvel acte de décentralisation. Restant cependant floues dans leur traduction concrète, elles portent de lourdes menaces sur l’avenir de l’orientation scolaire et de ses personnels.

Concernant la formation des enseignants, le SNES et le SNEP se félicitent que le rapport reprenne plusieurs des propositions qu’ils portent :
— pré-recrutement au niveau licence
— écoles supérieures du professorat et de l’éducation (ESPE) composantes de l’université ; nécessité d’un cadrage national
— équilibre entre formations académique et pédagogique
— entrée progressive dans le métier
— nécessité de formation continue…

Le SNES-FSU et le SNEP-FSU espèrent que la phase de négociations qui va s’ouvrir après les premiers arbitrages du ministre Vincent Peillon permettra d’éviter des choix partisans contre les personnels de second degré et ce qui fonde leur professionnalité et leur engagement dans le service public d’Education nationale, choix qui ne permettraient pas aux collèges et lycées d’assumer pleinement leur rôle dans la réussite de tous les jeunes.

Communiqué de presse du SNUipp / FSU : Refondation : pas sans les enseignants !

Le rapport issu de la concertation sur la refondation de l’école vient d’être rendu public . Au delà du constat partagé qui appelle à s’attaquer au déterminisme social de l’échec scolaire, il esquisse les contours des évolutions possibles de l’école.

Le SNUipp-FSU a participé avec sérieux à cette étape de consultation en faisant part d’un grand nombre de propositions pour faire avancer l’école. Il se félicite d’ailleurs que le rapport affiche à nouveau la priorité au primaire. Il faut maintenant que cette priorité se traduise aussi bien dans les moyens attribués dans les prochains budgets que dans le travail de fond à engager concernant la maternelle, la révision des programmes et des évaluations, la mise en œuvre de « plus de maîtres que de classes », la remise à plat totale des aides aux élèves…

Le SNUipp-FSU réaffirme qu’il est prêt à s’engager dans les discussions avec détermination pour la réussite des élèves. C’est maintenant que tout commence. La balle est dans le camp du ministre qui doit préciser les orientations qu’il souhaite retenir. Après deux mois d’écoute et avant tout arbitrage définitif, une nouvelle étape décisive doit s’ouvrir : celle de la négociation. De fait, le SNUipp-FSU demande au ministre de définir la méthode, l’agenda et les sujets des nécessaires discussions à venir.

Enfin, cette refondation ne pourra pas se faire sans les enseignants. Ce sont eux qui font l’école au quotidien. Des programmes à l’avenir des aides aux élèves en passant par les rythmes scolaires, ils ont une expertise qui doit être entendue. Aucune modification d’ampleur ne saurait dégrader leurs conditions de vie personnelle et professionnelle. Avant tout vote de la Loi, le SNUipp-FSU estime qu’il est indispensable que les enseignants puissent donner leur avis comme cela a été parfois possible lors de l’élaboration des programmes. C’est avec cet état d’esprit que, de son côté, il a lancé une grande enquête auprès de la profession. Et il entend bien en utiliser les résultats pour peser sur les discussions.

Paris, le 5 octobre 2012

4 Appel du SNUEP / FSU et d’une large intersyndicale : signez la pétition intersyndicale « Stop au tout CCF »

Texte de l’appel

Pétition intersyndicale

à l’appel du SNUEP-FSU, SNETAP-FSU, CGT Educ’action, Sud Education, SNCL-FAEN, SNALC

La mise en place de la réforme du baccalauréat professionnel en 3 ans est arrivée à son terme en 2012, et avec elle la généralisation des Contrôles en Cours de Formation (CCF) qui en est un élément important…

Le constat est le suivant :

· Pour les collègues, un alourdissement très important de leurs tâches, une surcharge de travail non prise en compte dans les services

· Pour les élèves, une perte d’heures d’enseignement qui s’ajoute à celle liée à la diminution d’une année de scolarité

· Une mise sous tension permanente et la désorganisation des établissements qui favorisent l’absentéisme.

La mise en place d’une indemnité, pour ceux qui la perçoivent, ne résout en rien les problèmes occasionnés par le « tout CCF ».

Les CCF se caractérisent par une grande disparité de mise en œuvre selon les établissements.
La réalisation de sujets par chaque collègue, le corps d’inspection n’exerçant qu’un contrôle a posteriori, parfois tatillon, la pression sur ces collègues pour qu’ils gonflent les notes, la concurrence qui peut se jouer entre les établissements aboutissent clairement à une remise en cause du caractère national des diplômes de la voie professionnelle.

La menace du CCF existe également sur le baccalauréat général ou technologique. Quelle sera demain la valeur du baccalauréat ? Quelle est aujourd’hui la chance réelle de réussite pour les bacheliers professionnels poursuivant en BTS ?

Les signataires demandent :

· L’abandon du tout CCF et l’abrogation des décrets de mise en place des CCF en CAP, BEP et Bac Pro

· L’ouverture immédiate de négociations avec le ministère sur l’évaluation et le mode de certification des CAP, BEP, Bac Pro

· Le retour au caractère national des diplômes par une certification comportant essentiellement des épreuves terminales ponctuelles, à partir de sujets réalisés avec les corps d’inspection.

http://www.stopautoutccf.net/petitions/index.php?petition=3

http://limoges.snuep.com/

5 Elections professionnelles à pôle emploi : le SNU pôle emploi / FSU remporte les élections

Les camarades de Pôle emploi nous transmettent les résultats des élections Professionnelles à Pôle-Emploi (Agent-es publics). Et bonne nouvelle, le SNU Pôle emploi reste la première organisation.

Les élections professionnelles pour les agent-es publics viennent de se tenir à Pôle-Emploi. Le collège électoral était de 5700 électeurs. Le taux de participation de + de 63,5% pour les élections aux Commissions Paritaires Nationales est bon et souligne l’attachement des personnels de droit public de Pôle-Emploi à la défense de leur statut public.

Le SNU Pôle-Emploi-FSU est la première organisation syndicale avec une moyenne nationale de 33,82% des suffrages exprimés en titulaires et 33,94% en suppléant-es. Le SNU Pôle-Emploi obtient 16 sièges nationalement. Il arrive également en tête dans les régions et établissements.
La CGT est la 2ème organisation syndicale avec 30,3% des suffrages, suivi par FO 14,5%, SUD 7,37%, le SNAP 5,7%, la CFDT 3,5%, l’UNSA 1,75%, la CFTC 1,54%, la CGC 1,47%.
La CDMT, organisation syndicale avec laquelle le SNU a signé une convention de partenariat, obtient à la Martinique 85,57% des suffrages.

Les personnels de droit public peuvent compter sur le SNU Pôle-Emploi FSU pour défendre le service public avec tous les droits qui y sont attachés ; nous ferons tout pour le développer et le rendre vivant.

Le SNU dans cette première expression électorale démontre qu’il est bien le syndicat de tous les personnels de Pôle-Emploi, quelque soit leur diversité et spécificité.